L’UEFA vient de sortir son 11 type des révélations de la phase de poule de la ligue des champions.

 

Via @UEFAcom_fr

Présentation des pépites, avec 4 français, dans une formation en 3-4-3 peu habituelle.

Dans les buts
Areola – 23 ans
PSG : 6 matches titulaires, 7 buts encaissés, 1 Clean sheet, 540 minutes de jeu

La défense à trois (et non pas de Troyes le club de L2)
Lindelöf – 22 ans
Benfica : 6 matchs titulaire, 540 minutes de jeu
Umtiti – 23 ans
Barcelone : 4 matchs titulaire, 360 minutes
Sergi Roberto – 24 ans
Barcelone : 4 matchs titulaire, 360 minutes

Le Milieu à 4
Raphaël Guerreiro – 23 ans
Borussia Dortmund : 3 matches titulaire, 1 buts, 2 passes décisives, 257 minutes de jeu
Renato Sanches – 19 ans
Bayern de Munich : 5 matches dont 2 titulaire, 190 minutes
Kimmich – 21 ans
Bayern de Munich : 5 matches dont 3 titulaire, 3 buts, 271 minutes de jeu
Lemar– 21 ans
As Monaco : 6 matches dont 4 titulaires, 2 buts, 447 minutes de jeu

La ligne des 3 attaquants
Dembélé -19 ans
Borussia Dortmund : 6 matches titulaire, 1 buts, 5 passes décisives, 445 minutes de jeu
André Silva  – 21ans
Fc Porto : 6 matches titulaire, 4 buts, 3 passes décisives, 528 minutes de jeu
Pulisic -18 ans
Borussia Dortmund : 6 matches dont 5 titulaire, 2 passes décisives, 438 minutes de jeu

Le tout avec comme entraîneur Zinedine Zidane, le coach du Real Madrid, dernier entraîneur vainqueur de la ligue des champions.

La repartions par championnats :
Bundesliga : 5 joueurs
Liga                : 2 joueurs
Ligue 1          : 2 joueurs
Ligas NOS   : 2 joueurs

Si cette équipe est assez logique, l’absence d’Oblak, le gardien de l’Atlético Madrid, est étonnante. En effet le gardien de 23 ans n’a concédé que 2 buts en 6 matches, avec 4 clean sheet, statistique bien meilleure que celle du gardien du PSG.

A propos Prince Owski 354 Articles
Comme Ole Gunnar Solskjær en 1999, je suis le joker de luxe de DV. Heureux propriétaire du suffixe -Owski. "Qu’importe : on pourra même me traiter de fou, il n’y a que ces couleurs Parisiennes qui illuminent mon cœur. Et à chaque blessure, il saigne ce cœur-là. Mais il s’enflamme encore." Francis Borelli