Si aujourd’hui la vaccination a permis de réduire drastiquement le nombre de maladies, l’une d’entre elles fait pourtant ravage. Son nom ? L’hypofootballisie estivale classique. Description clinique.
Le sujet
Le sujet atteint d’hypofootballisie estivale classique correspond généralement à des critères standardisés. La maladie se retrouve principalement chez des hommes, âgés de quinze à soixante-dix ans. Néanmoins, le phénomène n’y est pas circoncis. En effet, l’hypofootballisie peut également atteindre les plus jeunes. Les personnes âgées sont proportionnellement moins touchées.
L’hypofootballisie estivale classique est généralement moins présente chez les femmes. Cependant, la maladie peut être tout aussi dévastatrice chez les sujets de sexe féminin. Même si l’éradication est en bonne voie, l’hyperfootballisie annuelle touche au contraire un grand nombre de sujets féminins.
Enfin, l’hyperfootballisie annuelle classique est en réalité un phénomène majoritairement bisannuel, présent de préférence les années impaires.
Les symptômes
Les symptômes de prédisposition à l’hypofootballisie estivale classique sont relativement variés. Un indicateur couramment utilisé chez les experts est la surconsommation de substances alcoolisées de type houblonnées dans des lieux de débits de boisson. Toutefois, on peut retrouver chez des sujets totalement sains à l’état sauvage l’hypofootballisie estivale classique.
Une fois la maladie déclarée, le sujet se met à la recherche de chaînes télévisuelles diffusant des résumés de la saison, ou bien à la quête de championnats exotiques. La Major League Soccer (MLS) est ainsi beaucoup plus regardée chez les sujets souffrants d’HFEC que dans la moyenne de la population française.
Le sujet atteint d’HFEC se met parfois à tenir des propos incohérents à propos de « marché des transferts », et peut même regarder les compétitions internationales engageant des équipes dont il n’a cure le reste de l’année. Par exemple, la Copa America, la Coupe d’Afrique des Nations ou bien la Coupe du Monde de football féminin. Fait notable, les sujets souffrant d’hyperfootballisie sont également adeptes de cette dernière compétition.
Le traitement
Le traitement n’est pas miraculeux pour l’hypofootballisie : un seul est réellement efficace. Le temps. Le temps permet de traiter l’hypofootballisie assez efficacement. Des substituts permettent également d’atténuer les symptômes, comme par exemple les compétitions de substitution. Les matchs amicaux peuvent également avoir un effet placebo.
Mais malheureusement, l’HFEC est une maladie récurrente. Un patient atteint d’HFEC est souvent récidiviste. Et aucun moyen ne permettra jamais réellement de le guérir.