Le défenseur brésilien Maxwell, a accordé une interview au site officel du PSG. Il y parle de la fin de saison et de lui.

Via psg.fr

L’état d’esprit du groupe en cette fin de saison
« Tant que c’est mathématiquement possible, on va tout faire pour jouer le titre jusqu’à la fin. L’objectif est de jouer et d’honorer le maillot du Paris Saint-Germain jusqu’au bout. C’était une saison avec des hauts et des bas, mais c’est une saison qui nous a permis d’apprendre. Il faut savoir valoriser ce que nous avons accompli et s’améliorer pour gagner à nouveau des titres. »

La finale de la Coupe de France
« Je pense que la victoire en Coupe de la Ligue face à Monaco nous a permis de montrer la force de notre équipe. Nous avons fait un grand match et nous méritions de remporter ce trophée à nouveau. Si on ne parvient pas à remporter le titre cette saison, la finale de la Coupe de France va devenir un match encore plus spécial. C’est en plus la 100e édition de la compétition, nous pouvons remporter la 11e Coupe de France de l’histoire du club et donc faire tomber un nouveau record. Tout cela nous motive pour bien terminer la saison. »

Sa sérénité sur et en dehors du terrain
« Le football m’appris qu’on ne doit jamais jamais s’emballer, en bien ou en mal d’ailleurs. Il faut garder les pieds sur terre, et donner chaque jour le meilleur de soi-même. Dans le sport, il y a toujours des bons et des mauvais moments. Il faut savoir trouver une certaine stabilité pour appréhender toutes sortes de situations. Mes parents m’ont toujours dit que la vie était plus importante que le sport, donc je sais que respecter tous les gens qui travaillent ici au club est pour moi une évidence. C’est sans doute aussi pour cela que j’ai une belle relation avec le club. Le respect est mutuel »

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Comme Ole Gunnar Solskjær en 1999, je suis le joker de luxe de DV. Heureux propriétaire du suffixe -Owski. "Qu’importe : on pourra même me traiter de fou, il n’y a que ces couleurs Parisiennes qui illuminent mon cœur. Et à chaque blessure, il saigne ce cœur-là. Mais il s’enflamme encore." Francis Borelli