Amsterdam a été le bourreau des lyonnais en demi-finale de Coupe d’Europe la saison passée. Et cette saison, le club ajacide, qui a connu le grand Johann Cruyff, pourrait jouer le même rôle envers l’OGC Nice. En effet, les hommes de Lucien Favre ont concédé, au cours du match aller, un nul un but partout. Mais avant la manche retour, où tout se décidera, Lucien Favre, le technicien suisse, s’est laissé aller à des commentaires. Retrouvons les propos de l’entraîneur niçois au micro de l’Equipe.

Tout est encore possible, selon vous ?

Lucien Favre : Oui, après le 1-1 de l’aller, tout est possible. Je pense qu’on a fait un bon match chez nous, notamment en première mi-temps, car on s’est créé des occasions. Eux aussi, mais on en a eu autant qu’eux. A nous de répéter la même prestation à l’extérieur, mais ce sera encore plus difficile ici.

Alassane Pléa, qui va remplacer Mario Balotelli en pointe, n’a plus démarré un match depuis presque six mois…

Lucien Favre : Il n’a pas joué depuis le 12 février, ça fait donc un moment qu’il n’a  pas débuté une rencontre. Il n’a pas commencé tout de suite la préparation avec le reste du groupe, mais il l’a rejoint au bout d’une semaine, le 26 ou le 27 juin. C’est clair que, logiquement, il ne devrait pas être prêt pour jouer 95 minutes, mais au moins une bonne partie du match.

Jusqu’à quel point l’ambiance de l’Arena Amsterdam peut-elle jouer un rôle ?

Lucien Favre : L’Ajax, c’est toute une histoire, je la connais très bien. J’ai beaucoup suivi Cruyff comme joueur et entraîneur. Ce club commence une nouvelle épopée, en tous cas il est sur le bon chemin, il fait du bon travail avec les jeunes. Mais on a une belle ambiance, aussi, à Nice.

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