En conférence de presse après la défaite de l’ AS Monaco contre la Juventus de Turin (0-2), Leonardo Jardim a livré ses impressions

Via www.planete-asm.fr et lequipe.fr

Le match
« La Juventus a bien démarré mais, après dix à quinze minutes, on a rééquilibré le match. On a eu un peu plus de possession, de centres et de jeu dans les trente derniers mètres de l’adversaire. Mais je crois que l’efficacité a fait la différence. Sur trois situations, la Juventus a marqué deux buts et, nous, sur trois occasions, on n’en a inscrit aucun. Il y a eu deux gros arrêts de la part de Gianluigi Buffon. Notre manque d’efficacité est beaucoup dû à son travail dans les buts : il a réussi deux-trois arrêts incroyables. »

Le match de Mbappé 
« Il n’était pas facile pour lui de trouver de l’espace face à une équipe comme la Juventus. Mais il a essayé d’accomplir un match positif. J’ai félicité tous les joueurs, car on a montré une bonne image du football français. Le foot, c’est comme ça… »

Les mots pour le match retour ?
« J’ai parlé aux joueurs, je leur ai dit qu’on avait besoin d’y croire. Et la meilleure chose pour continuer à y croire, même s’il nous reste que 5% de chances de nous qualifier pour la finale, ce serait de s’imposer samedi à Nancy, en Championnat. Gagner là-bas nous offrirait ensuite la possibilité de jouer le second match à Turin avec une forte motivation. J’ai envie de dire à tout le monde qu’il faut supporter l’équipe samedi. »

L’absence de Mendy
« J’avais pris la décision après Toulouse. Je l’avais remplacé avant la fin de la rencontre. C’est sûr, il est un joueur très important pour nous, mais il avait déjà raté des matches de Ligue des Champions, comme à Dortmund. Je l’avais pris dans le groupe mais, ça, c’était stratégique de ma part « .

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Comme Ole Gunnar Solskjær en 1999, je suis le joker de luxe de DV. Heureux propriétaire du suffixe -Owski. "Qu’importe : on pourra même me traiter de fou, il n’y a que ces couleurs Parisiennes qui illuminent mon cœur. Et à chaque blessure, il saigne ce cœur-là. Mais il s’enflamme encore." Francis Borelli