Alors que son transfert était annoncé depuis le 24 décembre, le jeune champion du monde allemand, Julian Draxler à signer au Paris Saint Germain. Il a livré pour le site officiel du PSG ses premières impressions.

Photos : Team Pics/PSG

Les premières impressions de Draxler

« Je me sens très bien ! Je suis très heureux d’être ici, au Paris Saint-Germain. Cette année débute de la meilleure des manières. Je suis vraiment très content, tout simplement. J’aimais le Paris Saint-Germain, la ville de Paris… et il y a une très bonne équipe ici. Voilà pourquoi je voulais rejoindre le club. Je suis très honoré d’être ici aujourd’hui. »

Le niveau de l’équipe

« Je pense qu’elle n’est pas encore à son meilleure niveau. Cette équipe est très forte, et peut donc encore progresser lors de la deuxième partie de la saison. Je suis ici pour l’y aider. J’espère jouer beaucoup de matches, marquer des buts, offrir des passes décisives… C’est ce que j’aime le plus ! Je suis sûr qu’à la fin de la saison, nous aurons beaucoup de choses à fêter. »

Son apport et la concurrence

« J’ai vu beaucoup de matches du Paris Saint-Germain. J’espère pouvoir aider l’équipe, et vice-versa. Il y a de grands joueurs dans cette équipe, et j’espère apprendre à leurs côtés à l’entraînement et en matches. La concurrence ? Dans tous les grands clubs, elle est très importante. Quand on veut gagner de grands trophées, il faut qu’il y ait de la concurrence. J’aime cela, car elle me tire vers le haut. Je suis prêt ! »

Son intégration au PSG

« Quand il a entendu dire que j’allais venir au Paris Saint-Germain, il a été l’un des premiers joueurs à m’appeler. Je suis sûr qu’il me sera d’un grand soutien. C’est en tout cas un grand gardien de but, et je suis très heureux d’avoir aujourd’hui l’opportunité de jouer avec lui. »

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Comme Ole Gunnar Solskjær en 1999, je suis le joker de luxe de DV. Heureux propriétaire du suffixe -Owski. "Qu’importe : on pourra même me traiter de fou, il n’y a que ces couleurs Parisiennes qui illuminent mon cœur. Et à chaque blessure, il saigne ce cœur-là. Mais il s’enflamme encore." Francis Borelli